Chaire Ville Métabolisme

Chaire Ville Métabolisme

Concevoir, construire et habiter les villes de demain

« En développant des savoirs sur la vie et des biotechnologies, les humains transforment en profondeur leurs conditions d’existence sur Terre. Pour étudier ces phénomènes à l’interface entre le biologique et le social, l’Université PSL et le CNRS ont mis en place plusieurs programmes interdisciplinaires auxquels j’ai eu le plaisir de participer avec l’équipe « Anthropologie de la vie », composante du Laboratoire d’anthropologie sociale au Collège de France. Au fil des années, le dialogue avec les sciences de la nature a enrichi notre réflexion et nous a permis d’expérimenter de nouveaux types de formations pour les étudiants et les étudiantes. Le lancement de la Chaire Ville Métabolisme – Université PSL,en collaboration avec PCA-STREAM, Groupama Immobilier et Artelia, permet d’élargir cette dynamique collective, incluant les études urbaines, les sciences de l’ingénieur, et les expérimentations en art. Conjuguer nos expertises et nos méthodes pour apporter de nouveaux éclairages sur la manière de construire et d’habiter des villes est un projet passionnant dans lequel les enseignantes-chercheuses et enseignants-chercheurs de la Chaire s’impliquent avec beaucoup de conviction et d’enthousiasme. » Perig Pitrou, responsable scientifique de la Chaire Ville Métabolisme.

 

Présentation de la Chaire

Portée par l'Université PSL et initiée par l'agence d’architecture PCA-STREAM, la Chaire Ville Métabolisme est un programme interdisciplinaire de recherche-action soutenu par Groupama Immobilier, Artelia et PCA-STREAM. Elle s’appuie sur une dynamique collective pour explorer des questions de recherche inédites sur la ville, dispenser des cours et inventer des formations innovantes.

Les villes sont des environnements construits où s’entrelacent dynamiques écologiques et activités techniques. La qualité de la vie y dépend de phénomènes à l’interface entre le biologique et le social. Pour aborder cette réalité, la Chaire propose d’envisager les villes comme des métabolismes ou comme des espaces de coexistence entre des métabolismes variés.

L’objectif est de développer des expertises collectives de la ville nées d’une approche scientifique hautement pluridisciplinaire. Ces expertises visent à conjuguer approches quantitatives et qualitatives pour élaborer des méthodologies intégratives capables d’embrasser la complexité des phénomènes urbains. Au croisement des disciplines de l’Université PSL, la Chaire organise des actions de recherche et de formation novatrices. Elle associe les étudiantes et les étudiants pour leur transmettre des compétences interdisciplinaires et explorer de nouvelles manières de concevoir, construire et d’habiter.

L’objet de la Chaire

La ville métabolisme : comprendre comment les interventions humaines sur les territoires urbains peuvent s’articuler de la façon la plus harmonieuse avec des conditions écologiques

Pour que les êtres vivants se maintiennent en vie, se reproduisent, se développent, se déplacent, ils ont besoin d’échanger avec leurs milieux. Pour y parvenir, il y a le métabolisme : un réseau de processus d’interactions et de réactions bio-chimiques.

Le métabolisme renvoie à deux grandes catégories de processus se déroulant à l’échelle moléculaire pour construire des molécules complexes à partir de molécules simples (« anabolisme ») et pour dégrader des molécules complexes en molécules simples, en libérant de l’énergie (« catabolisme »).

Le métabolisme est un réseau de processus d’interactions et de réaction bio-chimiques qui permettent aux êtres vivants de se maintenir en vie, de se reproduire, de se développer, de se déplacer grâce à des échanges avec leurs milieux.

Qu’en est-il des villes ? Comment se maintiennent-elles, se développent-elles ? Le métabolisme a été utilisé en architecture pour décrire la vision utopique de mégalopoles dotées de structures flexibles, mouvantes, pouvant s’étendre à large échelle à l’image d’un processus de croissance organique (le mouvement “métaboliste” japonais, dans les années 1960 )  ou dans les études urbaines pour décrire les flux et les échanges de matières – énergie, eau, nutriments, déchets –, circulant dans les villes comme elles le feraient dans un corps (« métabolisme urbain »). 

En même temps que ces analogies, la ville-métabolisme peut se définir comme un espace où coexistent un large éventail de métabolismes, à l'œuvre chez des êtres vivants humains et non-humains (animaux, végétaux, micro-organismes, etc.). Or, les manières de construire et d’habiter les villes sont liées à la multiplicité de ces formes organiques. À plusieurs échelles, d’innombrables activités métaboliques s’y effectuent, associées par exemple à la nutrition, à la mobilité, à la respiration, au cycle du sommeil.

Il convient donc de comprendre comment les interventions humaines sur les territoires urbains peuvent s’articuler de la façon la plus harmonieuse avec des conditions écologiques.

À une autre échelle, étudier la ville-métabolisme consiste également à se pencher sur la diversité des pratiques humaines visant à transformer et à recomposer les éléments existant dans des environnements construits. Réparer, réutiliser, réemployer, rénover, réhabiliter, réaffecter, remédier, décontaminer, restaurer, renaturer, ré-ensauvager, réaffecter, etc. :  toutes ces activités – à l’intersection entre des dynamiques matérielles, biologiques, écologiques, techniques et institutionnelles – invitent à envisager les territoires urbains comme des phénomènes évolutifs à étudier dans une perspective historique et prospective.

 

Les événements de la Chaire Ville Métabolisme

Les événements à venir
  • 4-8 mars 2024 : PSL-week « Ville Métabolisme : Observer et analyser les indicateurs du vivant »

Les événements passés

 

Les thématiques de recherche

La Chaire mobilise les compétences et l’expertise des enseignants-chercheurs et enseignantes-chercheuses en sciences de la nature, sciences humaines et sociales, sciences de l’ingénieur et en art. Ces collaborations interdisciplinaires visent à appréhender la ville comme un système complexe, afin de diagnostiquer ses problèmes et d’éclairer les décisions capables de les traiter.

Notre programme de recherche ambitionne de mettre en place une analyse intégrative, réunissant des approches qualitatives et quantitatives, capables d’articuler la perception subjective des villes avec leur compréhension objective. Cela passe par l’élaboration d’indicateurs diversifiés. D’une part, cela signifie indiquer des directions où mener des enquêtes pour observer et rendre visibles des pratiques associées aux territoires urbains. D’autre part, cela suppose de réfléchir aux indicateurs pertinents pour déterminer des ordres de grandeur qui expliquent le fonctionnement et l’évolution des villes et aident à mieux comprendre les effets produits par des interventions visant à les modifier. Pour l’ensemble des travaux qui seront conduits, une attention sera portée aux différentes données mobilisées ainsi qu’aux interfaces – notamment les plateformes numériques – aidant à leur explicitation et leurs usages.

En dialogue avec les grandes problématiques qui animent la recherche en architecture et en études urbaines, six axes d’investigations interdisciplinaires souhaitent renouveler la compréhension des pratiques urbaines.

 

La ville comme système vivant, approche analogique

Les sciences de la nature disposent aujourd’hui de nombreux outils de mesure et de modèles pour interroger les systèmes vivants. Par la transposition des connaissances mais aussi par la confrontation constructive avec les communautés des sciences sociales, de l’architecture et de l’urbanisme, les acteurs des sciences de la nature se proposent d’évaluer la pertinence de ces outils de mesure et de ces modèles pour interroger les villes et leurs relations avec les territoires qui les entourent. Il s’agira en particulier de dégager des paramètres pour décrire l’état physiologique d’une ville comme on peut décrire l’état physiologique d’un organisme vivant et, le cas échéant, d’identifier des actions permettant de lui restituer un état physiologique optimal.

Étudier l’évolution des villes et la coexistence de strates

Territoires urbains et écosystèmes écologiques sont des systèmes  en constante évolution. Cela se manifeste dans des modifications de population, des variations de biodiversité, des changements de formes et de fonctions dans les milieux naturels et les environnements construits. Dans le patrimoine architectural le plus visible comme dans les choix d’urbanismes les plus profonds (infrastructures, voies de circulation, zones d’échange), les villes sont constituées de strates où s’entremêlent et se connectent diverses spatialités et temporalités. Adopter un regard archéologique, historique et géographique sur ces phénomènes permet de décrypter comment les événements et les pratiques passées influencent les manières actuelles d’habiter les villes contemporaines et de s’y déplacer.

Maintenir en vie, maintenir en état de fonctionnement

Afin de se maintenir en vie, les êtres vivants s’activent pour trouver de l’énergie en se nourrissant ou en respirant, et pour établir des interactions avec leurs milieux. Ces phénomènes sont également indissociables des manières de concevoir les villes et de construire des espaces où prendre soin des vivants, humains et non-humains, pour les nourrir, les soigner, les protéger, les cultiver. De surcroît, les villes, comme tous les systèmes techniques, sont maintenues en état de bon fonctionnement par une grande variété d’activités techniques. Nettoyer, réparer, remplacer, recycler, rénover, etc. : la liste des actions techniques essentielles à cette organisation est loin d’être close. Dans un dialogue avec les sciences de la nature et les sciences de l’ingénieur, les enquêtes de terrain en sociologie et en anthropologie questionnent ces activités de maintenance, impliquant les êtres vivants et les objets techniques, et invitent à étudier la multiplicité des matérialisations (prolongement, remplacement, destruction, …) auxquelles elles donnent lieu dans les villes.

Évaluer la « bonne santé » des villes et la qualité de vie des habitants

Selon les villes ou les quartiers, les conditions de vie sont plus ou moins bonnes, et peuvent s’améliorer ou se dégrader. Ces différences et variations s’appréhendent objectivement en analysant des données (démographiques, économiques, sociologiques, épidémiologiques, toxicologiques, etc.). Pour évaluer la qualité de vie, l’expérience subjective des habitants est également intéressante à restituer car elle peut varier selon l’âge, le genre, les catégories sociales ou les origines. Ces approches intégratives s’enrichissent également en prenant en compte les données relatives à l’environnement urbain, par exemple la pollution des sols, de l’air, de l’eau), et la présence de vivants non-humains (animaux, végétaux, micro-organismes, virus) qui produisent des effets positifs ou négatifs sur les conditions de vie. Cette approche plurielle réfléchit à la possibilité d’évaluer la « bonne santé » d’une ville afin d’intervenir pour traiter des situations de dysfonctionnement.

Normes et gouvernance : approches réflexives

Les projets en architecture et en urbanisme ne se définissent pas seulement en fonction des possibilités techniques. Ils se conçoivent et se réalisent en prenant en compte de normes et de valeurs relevant d’ordres parfois très hétérogènes : juridiques, économiques, esthétiques, religieux, etc. Mettre en évidence ces logiques institutionnelles qui encadrent et orientent les interventions sur les territoires urbains constituent un enjeu majeur pour identifier les freins et les leviers avec lesquels composent les acteurs impliqués dans la gouvernance des villes. Cette réflexivité sur les déterminants humains et sociaux vise à mieux élaborer des instruments pour éclairer la prise de décision en matière d’urbanisme et d’architecture, en intégrant mieux les résultats produits par les recherches scientifiques.

La recherche-création et l’exploration sensible du champ des possibles

Par leur capacité à mener des explorations sensibles des territoires urbains, les arts offrent d’autres regards sur la ville qui enrichissent les investigations scientifiques, éventuellement en instaurant une distance critique.  Les projets de recherche-création apportent des éclairages inédits sur la ville en révélant la dimension de la relation entre les êtres et en inventant des mondes possibles, possédant leurs logiques et leurs significations. En utilisant les ressources de l’art, la réflexion sur la ville-métabolisme peut se déployer dans des projets de fabrication d’images et d’imaginaires, d’expérimentation en design et de performances envisagées comme des moyens de réhabiter les territoires urbains.

Ressouces

La Chaire Ville Métabolisme produit du contenu scientifique et multimédia et contribue à sa diffusion dans le monde académique.

Elle participe aussi à la diffusion de contenus produits dans d’autres contextes scientifiques sur la notion de « ville métabolisme ».

 

La Chaire en pratique

La démarche recherche-action

La Chaire cherche à intégrer de manière étroitement liée la production, l’acquisition et la diffusion de connaissances scientifiques sur le concept de « ville métabolisme » et la mise en œuvre d'actions concrètes sur le terrain. Elle mobilise étudiants et étudiantes en formation, enseignants-chercheurs, enseignantes-chercheuses et entreprises mécènes autour de programmes de recherche interdisciplinaires innovants, soulignant ainsi l'importance du lien entre recherche et formation pour les générations qui viennent. Cette collaboration garantit une transmission de connaissances et de compétences interdisciplinaires alignée avec les défis environnementaux actuels, assurant ainsi une préparation adéquate aux enjeux futurs de construction et d’habitation des villes.

Les activités de la Chaire prennent ainsi différentes formes et épousent des rythmes courts ou longs selon les objectifs.

Formations novatrices de la Chaires Ville-Métabolisme

La Chaire propose ainsi des formations novatrices, comme les PSL-weeks organisées annuellement.

La gouvernance

Le conseil scientifique
Le responsable scientifique
Les enseignants-chercheurs associés aux activités de la chaire

La Chaire est composée d’un conseil scientifique indépendant, formé par des chercheuses et chercheurs issus des laboratoires de recherche de PSL. Ce comité interdisciplinaire oriente les enjeux scientifiques.

Dirigé par : Émilie d’Orgeix, Ecole Pratique des Hautes Études - PSL (histoire)

  • Emmanuèle Cunningham Sabot, École normale supérieure - PSL (aménagement et urbanisme)
  • Jérôme Denis, Mines Paris - PSL (sociologie)
  • Régis Ferrière, École normale supérieure - PSL (mathématiques)
  • Bruno Goud, Institut Curie (biologie)
  • Fanny Lopez, École nationale supérieure d'architecture Paris‑Malaquais (histoire de l’architecture)
  • Nathan Schlanger, École nationale des Chartes - PSL (archéologie)
  • Thomas Thiebault, École Pratique des Hautes Études - PSL (géochimie environnementale)
Portrait Perig Pitrou

Perig Pitrou est anthropologue, directeur de recherche au CNRS et à la Maison Française d’Oxford. Il dirige l’équipe « Anthropologie de la vie » du Laboratoire d’Anthropologie Sociale du Collège de France (Université PSL).

Grâce à des programmes financés par la Fondation Fyssen, le CNRS, l’Université PSL et l’ANR, il étudie les relations entre biotechnologies et société, en particulier avec le collectif interdisciplinaire « La vie à l’œuvre », qu’il a fondé. Dans le cadre du PEPR Origins, il dirige le volet « Sciences humaines et sociales » d’une investigation sur les origines de la vie et l’exobiologie (2023-2028). Il est également responsable scientifique de la Chaire Ville Métabolisme depuis 2023.

 

L’étude des villes comme des systèmes complexes suppose la mise en place de recherches collectives pour mener des enquêtes interdisciplinaires sur les pratiques urbaines. Sciences de la nature, sciences humaines et sociales, écoles d’ingénieurs et d’architecture, écoles d’art : les établissements de l’Université PSL constituent un vivier d’enseignantes-chercheuses et d’enseignants-chercheurs avec qui élaborer des méthodologies innovantes. Ces recherches, qui apportent de nouveaux éclairages sur le fonctionnement des territoires urbains, ambitionnent de participer à des interventions menées par les opérateurs privés et publics impliqués dans la construction immobilière et dans la politique de la ville. Pour l’Université PSL, ces expérimentations interdisciplinaires ont également vocation à former les étudiantes et les étudiants à de nouveaux métiers, et à faciliter leur insertion dans un univers professionnel en mutation.

  • Kévin Beaubrun-Diant, Dauphine- PSL (économie)
  • Hélène Blanchoud, École Pratique des Hautes Études - PSL (biogéochimie)
  • Sabine Chardonnet Darmaillacq, École nationale supérieure d'architecture Paris‑Malaquais (architecture et urbanisme)
  • Isabelle Chesneau, École nationale supérieure d'architecture Paris‑Malaquais (architecture et urbanisme)
  • Elie Danziger, Collège de France (anthropologie)
  • Nicolas Desprat, École normale supérieure - PSL (physique)
  • Pauline Detavernier, LIAT - École nationale supérieure d'architecture Paris‑Malaquais (architecture)
  • Leda Dimitriadi, École nationale supérieure d'architecture Paris‑Malaquais (sciences et techniques pour l'architecture)
  • Martine Drozdz, CNRS (géographie)
  • Gabrielle Fack, Dauphine - PSL (économie)
  • Corinne Feiss-Jehel, École Pratique des Hautes Études - PSL (sciences de l'environnement)
  • Daniel Florentin, Mines Paris - PSL (études urbaines)
  • Aurélie Goutte, École Pratique des Hautes Études - PSL (écotoxicologie)
  • Élodie Guigon, École Pratique des Hautes Études - PSL (sciences de l'environnement)
  • François Guyot, Muséum national d'Histoire naturelle (biominéralogie)    
  • Ludovic Jullien, École normale supérieure - PSL (chimie)
  • Christian Lorenzi, École normale supérieure - PSL (psychologie expérimentale)
  • Léone-Alix Mazaud, Mines Paris - PSL (urbanisme et biodiversité)
  • Morgan Meyer, Mines Paris - PSL (sociologie)
  • Philippe Nghe, ESPCI Paris - PSL (biophysique)
  • Minh Man NGuyen, École nationale supérieure d'architecture Paris‑Malaquais (théories et pratiques de la conception architecturale et urbaine)
  • Émilie d’Orgeix, École Pratique des Hautes Études - PSL (histoire, architecture et techniques)
  • Mathieu Perona, Observatoire du Bien-être du Centre pour la recherche économique et ses applications (économie)
  • David Pontille, Mines Paris - PSL (sociologie)
  • Étienne Riot, PCA-STREAM et LVMT UGE - École des ponts ParisTech (urbanisme)
  • William Van Andringa, École Pratique des Hautes Études - PSL (archéologie)
  • Catherine Villard, CNRS (physique)

 

Le comité des mécènes

Le comité des mécènes de la Chaire suit le bon déroulé des activités de la Chaire. Les orientations scientifiques de la Chaire sont soumises à l’avis consultatif du comité des mécènes. Il pourra être force de proposition concernant des sujets de stage, de missions doctorales et post-doctorales, ou de projets étudiants.

PCA-STREAM
Groupama Immobilier
Artelia
Devenir partenaire de la chaire

PCA-STREAM est une agence d'architecture, architecture d’intérieur et d'urbanisme, un pôle de recherche et un centre d'innovation. Nous travaillons au-delà des limites traditionnelles de la fabrique de la ville, et incarnons dans nos projets et nos productions une vision urbaine interdisciplinaire sous-tendue par une forte conscience des enjeux environnementaux. Notre équipe de cent collaborateurs multiplie les outils et savoirs au service de la recherche et de la conception. Nos productions architecturales et urbaines sont profondément nourries par notre travail de recherche : l’agence est un laboratoire où nous explorons et testons des solutions face aux urgences d’un monde en mutation.

Intervenant de premier plan sur le marché de la gestion patrimoniale d’actifs immobiliers à Paris et dans la région Ile-de-France, Groupama Immobilier est une entité du groupe Groupama. Investisseur, gestionnaire et créateur de valeur patrimoniale, Groupama Immobilier a l’ambition de construire de nouveaux horizons pour ses clients et investisseurs en développant un immobilier intelligent, conçu pour la ville de demain.
Certifiée ISO 9001 et 14001, Groupama Immobilier est largement investi dans la responsabilité sociétale des entreprises et le développement durable.

Implanté dans 40 pays en Europe, en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie Pacifique et en Amérique, le groupe Artelia associe de fortes compétences en ingénierie de la mobilité, de l’eau, de l’énergie, du bâtiment et de l’industrie. Il offre une gamme complète de services, de l’expertise à la livraison de projets complexes menés en réponse aux principaux défis actuels : résilience au changement climatique, transition énergétique, économie des ressources, industrie avancée, renouveau du bâti, mieux-vivre en ville, mobilité multimodale.
Face à ces enjeux, Artelia propose des solutions à la fois innovantes et réalistes, audacieuses et tangibles afin d’aider les citoyens du monde, à mener une vie positive.

Devenir partenaire de la chaire

  • En rejoignant la communauté des mécènes de la chaire Ville Métabolisme, vous accédez à des projets de développement structurants s'inscrivant dans la durée.
  • Prenez contact avec l’équipe Mécénat de la Fondation : Daphné Crépin, Responsable du mécénat / daphne.crepin@psl.eu

Crédit image : NASA

 

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